Un nouvel accord a été passé ce lundi pour réduire les quotas de prises de thon rouge dans la zone Atlantique et Méditerranée de 40% l’année prochaine, qui passent ainsi de 22 500 tonnes cette année à 13 500 tonnes l’année prochaine. Bien donc, mais pas de quoi sauter au plafond quand on sait que les scientifiques établissent à 8500 tonnes, le quota permettant de reconstituer une biomasse importante à l’horizon 2023.
Les principaux intéressés – et donc fautifs – sont les Japonais, grands consommateurs devant l’éternel (80% des importations de la zone) et ainsi grands lobbyistes contre l’inscription du thon rouge sur la liste des espèces en voie de disparition de l’ONU.
La perspective de cette inscription fait trembler dans l’archipel : si le thon était déclaré espèce en voie de disparition, son commerce international en serait interdit.
Regardons aussi l’impact santé, le thon rouge sauvage de la Méditerranée est gavé de mercure, mercure = poison et il est recommandé de ne pas dépasser 1 à 2 portions par semaine, voire de lui préférer le thon d’élevage.
Vous pouvez aussi faire comme moi et vous en passer purement et simplement : croyez le ou non, mais je n’ai même pas les mains qui tremblent.
Les principaux intéressés – et donc fautifs – sont les Japonais, grands consommateurs devant l’éternel (80% des importations de la zone) et ainsi grands lobbyistes contre l’inscription du thon rouge sur la liste des espèces en voie de disparition de l’ONU.
La perspective de cette inscription fait trembler dans l’archipel : si le thon était déclaré espèce en voie de disparition, son commerce international en serait interdit.
Regardons aussi l’impact santé, le thon rouge sauvage de la Méditerranée est gavé de mercure, mercure = poison et il est recommandé de ne pas dépasser 1 à 2 portions par semaine, voire de lui préférer le thon d’élevage.
Vous pouvez aussi faire comme moi et vous en passer purement et simplement : croyez le ou non, mais je n’ai même pas les mains qui tremblent.
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