Avec ma copine Mourielle, on prend des cours de fashion couture dans un atelier trop classe du 17eme arrondissement. Les cours ont lieu dans une boutique de vintage aussi chic qu’abordable (pour du vintage): Boutique BDA pour Bastien de Almeida.
Pourquoi l’idée de la couture sur ce blog ? Une mini conscience de l’intérêt fashion et écologique de l’entreprise, ravivée par la lecture de « Apprendre à faire le vide : Pour en finir avec le "toujours plus" ». Dans ce bouquin, Paul Aries rappelait qu’il n’y a pas si longtemps les vêtements étaient pour la plupart homemade, et qu’ils se prêtaient au sein de la famille, la cousine récupérant les petites robes de la sœur. Et que finalement, se fabriquer ses propres vêtements, c’est aussi prendre conscience de la valeur de son petit top, des matières utilisées, du travail requis et tout et tout. Alors je me dis qu’en toute logique ça devrait forcer le respect que j’ai pour le vêtement et in fine calmer mes fringales de fringues, tout en ne sacrifiant rien à la mode, puisque il ne tient qu’à moi de me confectionner des vêtements pas gnangnans.
Mais revenons-en au cours. Là-bas on est accueillies par Amandine, grande prêtresse du stylisme à la portée d’un enfant de 5 ans, même si au final c’est un casting de qqs trentenaires bobos/récessionistas qui nous constituent une haie d’honneur en guise de bienvenue.
Quand Amandine notre professeur de modélisme nous lance : « alors les filles, vous avez déjà fait de la couture ? Ah, vous savez faire des ourlets et des boutons, bien, bien, alors dessinez moi sur une feuille blanche la petite jupe de vos rêves, on va remédier à tout ça.. » Nous on boit du petit lait. Certes en 2h30 de temps on s’est épuisées en patronage, calculs mentaux migraineux pour savoir si la pince elle doit faire 2 cm ou 2,50 puisque en tour de taille divisé par 4 ça fait du 16 (sic).
Dans la foulée on a aussi ré-appris à manier l’équerre et le quadruple décimètre comme en 40 (enfin plutôt comme en 90), même si en vrai, ce qu’on kiffe dans le dégainage d’équerre et rapporteur c’est le petit look architecte, fashion creative artiste qui va avec.
Bon, next step, je monte la jupe, c’est cette semaine. OK, c’est vrai à 50€ le cours, ça fait un peu cher en euros la jupe, mais ça sera MA jupe, taillée – que dis-je ? moulée – à la perfection sur mon corps en voie d’amincissement Okinawa.
Ah oui, Okinawa, c’est quand encore qu’on a des résultats ? Pfff, ça porte moyen ses fruits..More to come là-dessus very very soon.
Pourquoi l’idée de la couture sur ce blog ? Une mini conscience de l’intérêt fashion et écologique de l’entreprise, ravivée par la lecture de « Apprendre à faire le vide : Pour en finir avec le "toujours plus" ». Dans ce bouquin, Paul Aries rappelait qu’il n’y a pas si longtemps les vêtements étaient pour la plupart homemade, et qu’ils se prêtaient au sein de la famille, la cousine récupérant les petites robes de la sœur. Et que finalement, se fabriquer ses propres vêtements, c’est aussi prendre conscience de la valeur de son petit top, des matières utilisées, du travail requis et tout et tout. Alors je me dis qu’en toute logique ça devrait forcer le respect que j’ai pour le vêtement et in fine calmer mes fringales de fringues, tout en ne sacrifiant rien à la mode, puisque il ne tient qu’à moi de me confectionner des vêtements pas gnangnans.
Mais revenons-en au cours. Là-bas on est accueillies par Amandine, grande prêtresse du stylisme à la portée d’un enfant de 5 ans, même si au final c’est un casting de qqs trentenaires bobos/récessionistas qui nous constituent une haie d’honneur en guise de bienvenue.
Quand Amandine notre professeur de modélisme nous lance : « alors les filles, vous avez déjà fait de la couture ? Ah, vous savez faire des ourlets et des boutons, bien, bien, alors dessinez moi sur une feuille blanche la petite jupe de vos rêves, on va remédier à tout ça.. » Nous on boit du petit lait. Certes en 2h30 de temps on s’est épuisées en patronage, calculs mentaux migraineux pour savoir si la pince elle doit faire 2 cm ou 2,50 puisque en tour de taille divisé par 4 ça fait du 16 (sic).
Dans la foulée on a aussi ré-appris à manier l’équerre et le quadruple décimètre comme en 40 (enfin plutôt comme en 90), même si en vrai, ce qu’on kiffe dans le dégainage d’équerre et rapporteur c’est le petit look architecte, fashion creative artiste qui va avec.
Bon, next step, je monte la jupe, c’est cette semaine. OK, c’est vrai à 50€ le cours, ça fait un peu cher en euros la jupe, mais ça sera MA jupe, taillée – que dis-je ? moulée – à la perfection sur mon corps en voie d’amincissement Okinawa.
Ah oui, Okinawa, c’est quand encore qu’on a des résultats ? Pfff, ça porte moyen ses fruits..More to come là-dessus very very soon.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire